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J'ai parcouru le début de ton roman qui est ma foi fort bien écrit et que j'ai particulièrement apprecié.
Néanmoins j'ai pu y relever quelques incohérences qui empêchent les connaisseurs que nous sommes de plonger corps et âme dans le récit

:
1) Jamais, au grand jamais un propriétaire de Delorean ne passerait ses doigts le long de la carrosserie!!!

ou si tu tiens vraiment à ce que le personnage fasse cela tu dois mentionner qu'il regretta amèrement son geste inconsidéré et passa la meilleure partie de sa demi-journée à passer et repasser un chiffon imbibé de Glassex à l'endroit de son méfait.
2) Le démarrage au quart de tour n'est pas du tout crédible non plus (re-

), d'autant plus après un voyage transatlantique passé dans l'humidité d'un container. De même, l'allusion au "moteur parfaitement reglé" ne peut que nous faire classer ton roman dans la catégorie des fables!
3) La puissance " au bout du pied" s'obtient plutôt "du bout de la cravache", le héros ne pouvant concevablement pas se réjouir des performances de l'engin à son premier contact surtout quand on lit un peu plus tôt qu'il possède une Aston martin Vanquish
4) On écrit Delorean et non Delorean
e, bien que sur ce point j'aurais tendance à dire que tu as d'une certaine manière raison, seule une entité féminine pouvant causer tant d'emmerdes et de dépenses!
Voilà, j'espère que tu n'as pas pris mes déclarations au premier degré, c'est juste de l'autodérision de propriétaire amoureux d'une machine aussi attachante par ses défauts que par ses qualités
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